Entre les trois derniers trimestres de 2013 et le premier semestre de 2014, la Chine a continué à multiplier les initiatives pour faire valoir des droits, a priori non fondés en regard du droit de la mer, sur les deux mers de Chine de l’Est et du Sud, ce qui n’a pas contribué à faire tomber les tensions entre elle et les autres riverains, voire indirectement entre elle et les Etats-Unis.
Des solutions sont bien en voie de recherche, comme l’espoir d’élaborer un code de conduite des parties en mer de Chine du Sud en vue de remplacer l’inefficace Déclaration de conduite qui avait été adoptée le 4 novembre 2002.
Mais tant que le tracé en neuf traits, qui prétend délimiter les droits chinois sur cette mer, n’aura pas disparu, il est illusoire d’espérer déboucher sur quelque authentique accord.